jueves, 8 de noviembre de 2012

veinticuatro de cuarenta y nueve

Il y a surtout de la folie dans le film lui-même, dans sa construction, ses surplaces, son attention aux sacs poubelle remplis des habits qu’on abandonne, aux formulaires de procuration, aux procédures bancaires et douanières, au déménagement des pianos, aux changements de serrures, de trains, d’habits, d’hôtels. D’abord il semble que ce soit une erreur de
« construction dramatique » comme on dit, bientôt il est évident que c’est au contraire le projet même du film. Jean-Michel Frodon, “Le grand arbre de la réduction