lunes, 12 de noviembre de 2012

veintiséis de cuarenta y nueve

Cela me vient en observant ceci : que nous en sommes encore à peindre les hommes sur fond d’or, comme les tout premiers primitifs. Ils se tiennent devant de l’indéterminé. Parfois de l’or, parfois du gris. Dans la lumière parfois, et souvent avec, derrière eux, une insondable obscurité.
Rainer Maria Rilke, Notes sur la mélodie des choses